"Il me semble que la danseuse qui a créé ce rôle dit quelque part combien cette scène était humainement éprouvante, combien elle avait le sentiment d'être flétrie, salie, violée, chaque fois qu'elle en sortait..."
Mathieu Riboulet, Les Œuvres de miséricorde, chez Verdier, 2012. in 9. Laisser pour morts les prisonniers.
Aucun commentaire :
Enregistrer un commentaire