tag:blogger.com,1999:blog-7040187062013258762.post7060377513107671919..comments2023-09-13T12:34:27.124+02:00Comments on Camera lucida: Alain Bashung, le langage et son double, partie 5/5Louphttp://www.blogger.com/profile/15223095813515617697noreply@blogger.comBlogger5125tag:blogger.com,1999:blog-7040187062013258762.post-84754018853962467742011-10-11T23:24:31.528+02:002011-10-11T23:24:31.528+02:00Envergure louable du projet mais difficulté d'...Envergure louable du projet mais difficulté d'en embrasser d'un regard la totalité, de l'assimiler complètement, de le digérer. Comme dans tout Bashung, il reste quelque chose qui résiste.<br />Merci.Louphttps://www.blogger.com/profile/15223095813515617697noreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7040187062013258762.post-16558076023120013342011-10-10T20:35:07.999+02:002011-10-10T20:35:07.999+02:00tu gloses, tu gloses, c'est tout ce que tu sai...tu gloses, tu gloses, c'est tout ce que tu sais faire loooolD Mond, comme on dirait chez les musiciens pour désigner un auteur connu françaisnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7040187062013258762.post-86613907097510312402011-10-10T20:31:31.788+02:002011-10-10T20:31:31.788+02:00Oui, j'aime assez cette idée de la république ...Oui, j'aime assez cette idée de la république des lettres, on parle avec des morts ou avec des vivants, on répond à des morts et à des vivants, à des hommes, en somme, que j'aime autant sans majuscule : il y a là un grand espace ouvert pour l'intelligence et pour la civilité. Je ne sais pas exactement de quoi l'on meurt, ni ce qu'est une réponse - je crois en vérité qu'il n'y en a pas, jamais, pour rien. Ce qui n'empêche pas, selon moi l'affirmation. Et l'homme porte une opinion aussi bien qu'un linceul. Je crois juste qu'il est bon, dans ces matières, de porter quelque chose. Comme à l'auberge espagnole, en somme. Croyez cependant que j'ai lu votre travail avec intérêt et profit. Et c'est d'un tout petit regret que nous glosons ainsi longuement.Notenovnoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7040187062013258762.post-31909949115606319922011-10-10T10:10:07.233+02:002011-10-10T10:10:07.233+02:00Cher M.Notenov,
Il est vrai que cet article prend ...Cher M.Notenov,<br />Il est vrai que cet article prend résolument comme angle d'attaque l'étude de la forme de l'expression chez Alain Bashung, parfois et certainement au détriment de la forme du contenu. Mais cette dernière, indissociable de la première, loin d'être reniée, est plutôt ici atténuée. Et ce tout simplement parce que j'ai voulu dans cette étude poursuivre (ainsi que je le dis en début d'article) la réflexion amorcée par vous-même dans votre article sur Bashung, et qui, s'il traitait précisément de la forme du contenu, m'avait donné envie de me pencher sur cette forme de l'expression qui lui est si propre. Et je reconnais ne pas pouvoir me défendre de certaines influences structuralistes ... Je souhaite simplement que cet article, comme ç'avait été le cas avec le vôtre, puisse donner envie d'être approfondi, complété, poursuivi, dans une sorte de questionnement perpétuel, "car c'est des réponses que l'Homme meurt" ...françoinoreply@blogger.comtag:blogger.com,1999:blog-7040187062013258762.post-38712027925836567982011-10-10T06:45:20.251+02:002011-10-10T06:45:20.251+02:00Ultime commentaire à propos de ce beau travail. J...Ultime commentaire à propos de ce beau travail. Je trouve un peu artificiel ce découpage de la forme, ici brillamment analysée, et du sens - dont il n'est finalement pas dit un mot. Ce parti-pris un peu structuraliste, de la clôture du texte, en définitive le dessert - car il le scinde, il le creuse d'un manque profond, l'unité formelle de l'oeuvre dont la forme EST le sens et dont les jeux de mots désespérés sont plus beaux de dire le désespoir. L'art est ici encore, forme donnée à l'angoisse.Notenovnoreply@blogger.com